Les cinémas sont des lieux qui reçoivent très régulièrement un public intense. Les architectes en charge de ces espaces étudient avec soin concept et matériaux utilisés.
Pour répondre aux exigences de ces lieux, le choix des revêtements de sol, si sollicités, est en effet très important. Les qualités acoustiques, le large choix du design et des couleurs, la durabilité, et la facilité d’entretien orientent en général le choix vers un revêtement de sol textile ; la moquette est un produit particulièrement bien indiqué pour répondre à ces critères.
Frédéric Namur, architecte expérimenté, est spécialisé dans ce domaine depuis de nombreuses années. Il a réalisé bon nombre de projets, allant d’une simple salle aux grands complexes voire multiplexes actuels.
C’est pourquoi, pour ses différents projets de salle de cinéma, Frédéric Namur choisit avec attention une moquette en priorité pour son confort acoustique indispensable aux grands volumes. La sensation de bien-être éprouvée en rentrant dans un espace semi-public, le moelleux sous les pas du cheminement du spectateur jusqu'à son fauteuil, et le côté feutré de la salle obscure par opposition à l’espace public extérieur, dur, brut et bruyant que l’on vient de quitter, offre un moment privilégié de détente et de confort.
Une moquette de qualité commence par la qualité des fibres utilisées.
Les fibres Antron® d’INVISTA réputées depuis plus de 40 ans, contribuent aux multiples possibilités de conception et répondent aux contraintes de résistance et d’homologation des salles de cinéma.
Grâce aux propriétés performantes du polyamide 6.6 (nylon 6.6) : bonne conservation d’aspect, excellente résilience, résistance très forte à l’usure et une bonne protection anti-salissure, les moquettes réalisées en fibre Antron® conservent durablement un bel aspect.
"L’autre avantage, explique Frédéric Namur, c’est aussi cette liberté de création qu’offre le sol textile, comme cette moquette dessinée spécifiquement pour le multiplex de 10 salles à Fribourg en Suisse, avec un motif utilisé en positif/négatif, avec alternance de fond rouge ou noir suivant l’emplacement déterminé, afin de garder un dessin harmonieux sur l’ensemble du multiplex. Nous avons travaillé en parfaite collaboration avec les fibres Antron® et la société Lano qui a réalisé ce produit".
L’autre projet qui tient à cœur à Frédéric Namur, est ce projet plus ancien du Quai de Seine MK2 à Paris, en 1998, qui fut a l’époque un courant contraire à l’installation des complexes en périphérie des villes. Le MK2 Quai de Seine est un cinéma de centre ville, tout comme le complexe Les 400 Coups à Angers, et celui-ci a été la première réhabilitation du cinéma de proximité, avec des espaces de rencontre et de culture. Aujourd’hui 12 ans après, les grands complexes veulent revenir en ville, et créer en leur sein des espaces de convivialité pour que le cinéma reste une fête pour chacun. |